Actualités du notariat

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ACTUALITÉS

 

08/12/2025

Bilan immobilier pour l'année 2025 et les premières tendances 2026

03/12/2025

24 jours pour mieux comprendre vos actes !

26/11/2025

Garantie décennale et isolation thermique insuffisante

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    La Cour de cassation vient de préciser qu’un manque d’isolation, entraînant d’importantes dépenses de chauffage, ne rendait pas nécessairement inhabitable, le bien vendu.

     

    Dans un arrêt rendu le 23 octobre dernier, elle en conclut que les acheteurs ne pouvaient solliciter la garantie décennale du vendeur-constructeur afin d’obtenir une indemnisation sur ce fondement. Dans cette affaire, les acquéreurs d’une maison partiellement édifiée par le vendeur avaient en effet sollicité le bénéfice de la garantie aux motifs qu’en hiver, ils ne pouvaient occuper certaines pièces de l’habitation sans provoquer des dépenses excessives de chauffage.

     

    Les juges du fond avaient reconnu des malfaçons d’isolation et condamné le vendeur à indemniser les acquéreurs sur le fondement de cette garantie. Le vendeur-constructeur s’était alors pourvu en cassation estimant que la surconsommation de chauffage ne rendait pas le logement impropre à l’habitation.

     

    La Cour de cassation casse l’arrêt de la cour d’appel, reprochant aux magistrats de ne pas avoir recherché « si les défauts d'isolation thermique constatés ne permettaient l'utilisation de l'ouvrage qu'à un coût exorbitant. » Autrement dit, d’après les commentaires de l’arrêt, les juges auraient dû caractériser le coût excessif des frais de chauffage. Un arrêt rendu deux ans plus tôt avait retenu la garantie décennale en cas d’impossibilité de se chauffer sans s’exposer à des surcoûts.

20/11/2025

Quel droit pour assister la fin de vie ?

VOIR LES PARUTIONS PRÉCÉDENTES

  • Le contenu du registre d'immatriculation des copropriétés - 20/11/2025

    Un décret, publié le 19 août dernier, vient préciser les informations à inscrire dans ce registre auquel tous les syndicats de copropriétaires doivent être immatriculés.

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      Un décret, publié le 19 août dernier, vient préciser les informations à inscrire dans ce registre auquel tous les syndicats de copropriétaires doivent être immatriculés.

       

      Pour rappel, ce registre est destiné à faciliter la connaissance des pouvoirs publics afin de prévenir d’éventuels risques de défaillances des copropriétés. Le nouveau texte prévoit ainsi de renseigner davantage les caractéristiques de l’immeuble en déclarant le nombre de bâtiments ainsi que celui de leurs étages et de leurs ascenseurs, leur période de construction, les données relatives à leur performance énergétique, leur système de chauffage et de production d'eau chaude sanitaire, l’installation de la ventilation, sans oublier les éventuelles décisions administratives visant à lutter contre la dégradation des immeubles ou l’existence d’un diagnostic structurel.

       

      Par ailleurs, l’obligation d’indiquer le nombre de copropriétaires débiteurs du syndicat, à compter du 21 février 2027, sera réduite aux copropriétaires redevables de plus de deux trimestres de charges. Le montant du fonds de travaux devra, en outre, figurer également au registre.

       

      Notez que les notaires bénéficieront d’un accès élargi aux données renseignées dans le registre. Ils auront ainsi la possibilité de savoir si la copropriété fait l’objet d’une procédure pour des difficultés de paiement et/ou d’une fragilité de l’immeuble mettant en cause la sécurité des personnes, en plus des autres informations (nom, adresse, date de création du syndicat, nombre, nature des lots …).

       

  • Baromètre de l'immobilier des villes Action coeur de ville pour l'année 2024 - 19/11/2025

    L'Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT) et le Conseil supérieur du notariat (CSN) présentent la 6ème édition du baromètre Immobilier des villes Action cœur de ville (ACV).

     

  • Vente immobilière et augmentation des droits de mutation à titre onéreux - 18/11/2025

    Comment se composent les droits de mutation ?

    Les droits de mutation sont composés :

    • d’une taxe départementale de publicité foncière (de 4,5 % du prix de vente),
    • d’une taxe additionnelle au profit de la commune (1,20 %),
    • et de frais d'assiette et de recouvrement au profit de l'Etat (2,37 % de la taxe de publicité foncière
  • Salon des Maires 2025 :  du 18 au 20 novembre, retrouvez les Notaires de France à Paris - Porte de Versailles - 18/11/2025

    Retrouvez les Notaires de France au Salon des Maires à Paris Expo, Porte de Versailles, pavillon 4 stand E 107

    Les Notaires de France seront présents au Salon des Maires et des Collectivités locales qui se tiendra du 18 au 20 novembre 2025, de 9 h à 19 h (18 h le jeudi) à Paris Expo, Porte de Versailles.

    Plusieurs temps forts rythmeront le stand des Notaires de France, pavillon 4 stand E 107.

     

  • La nouvelle fiscalité des locations touristiques - 13/11/2025

    Depuis la fin du mois de septembre, la Direction générale des finances publiques informe les loueurs non professionnels*, de meublés, pour de courtes durées, de la révision des seuils pour bénéficier du régime fiscal du micro-BIC.

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      Depuis la fin du mois de septembre, la Direction générale des finances publiques informe les loueurs non professionnels*, de meublés, pour de courtes durées, de la révision des seuils pour bénéficier du régime fiscal du micro-BIC.

      Elle a ainsi envoyé aux contribuables concernés, identifiés via la plateforme « Gérer mes biens immobiliers » un mail rappelant l’évolution des règles d’imposition des loyers perçus, depuis l’entrée en vigueur de la loi n° 2024-1039 du 19 novembre 2024 visant à renforcer les outils de régulation des meublés de tourisme à l’échelle locale, dite loi Le Meur.

       

      Cette dernière a revu les seuils d’imposition permettant de bénéficier d’un abattement forfaitaire représentatif des charges supportées par le bailleur. Pour y prétendre, les recettes annuelles de celui-ci ne doivent pas dépasser 15 000 € lorsqu’il s’agit d’une location non classée (77 700 € pour les non-classées et les chambres d’hôtes).

       

      La même loi a également revu à la baisse le taux de l’abattement qui passe de 50 à 30 % (50 % pour les locations classées et les chambres d’hôtes).

       

      Pour éviter une potentielle hausse d’impôts, ces nouvelles règles imposent de faire ses calculs pour la prochaine déclaration. La déduction des frais réellement engagés peut être plus intéressante mais elle oblige le bailleur à conserver les justificatifs des dépenses supportées.

       

      * Le non professionnel est celui dont les recettes annuelles tirées de son activité de bailleur sont inférieures à 23 000 € et ne dépassent pas le montant total des autres revenus du foyer fiscal.

       

  • Les Notaires de France présents au Forum National des Associations et des Fondations (FNAF) au Palais des Congrès de Paris - 06/11/2025

    ne conférence sera organisée de 11h à 12h30 avec France générosités sur le thème « Notaires et Associations, accompagner la générosité du public tout au long de la vie ».

    Dans un contexte d’évolution démographique et sociétale, la collecte de libéralités par les organisations à but non lucratif doit s’adapter.

    Qu’il s’agisse de dons réalisés de son vivant ou de transmissions posthumes, notaires et organismes à but non lucratif jouent un rôle essentiel dans l’accompagnement des familles, sous toutes leurs formes et tout au long de la vie.

    Au cours de cette conférence, nos intervenants, fondation et notaires, vous présenteront les mécanismes de transmission adaptés à ces nouvelles réalités.

     

  • L'indice de référence des loyers en progression de 0,87% sur un an - 06/11/2025

    L'indice de référence des loyers (IRL) pour le troisième trimestre 2025 a été publié le 15 octobre dernier, par l’Insee.

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      L'indice de référence des loyers (IRL) pour le troisième trimestre 2025 a été publié le 15 octobre dernier, par l’Insee.

       

      Il s’établit à 145,77 (142,97 pour la Guadeloupe, la Réunion, la Guyane, la Martinique ainsi que Mayotte et à 141,58 pour la Corse).

       

      Pour rappel, il constitue le seul indice pour procéder à une révision du loyer à condition toutefois que cette possibilité ait été prévue au bail d’habitation et que le logement ne soit pas classé F ou G par le diagnostic de performance énergétique.

       

      L’interdiction d’augmenter les loyers pour les passoires énergétiques s’applique aux contrats de location conclus, renouvelés ou tacitement reconduits depuis le 24 août 2022 (à compter du 1er juillet 2024 en Guadeloupe, en Martinique, en Guyane, à La Réunion et à Mayotte).

  • Nouveau diagnostic pour les bâtiments d'habitations collectifs

    Un décret et un arrêté, publiés au mois d’août dernier, précisent la possibilité pour les communes d’imposer, dans certains secteurs, la réalisation d’un diagnostic structurel de l’immeuble.

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      Un décret et un arrêté, publiés au mois d’août dernier, précisent la possibilité pour les communes d’imposer, dans certains secteurs, la réalisation d’un diagnostic structurel de l’immeuble.

       

      Il est ainsi prévu que les zones concernées soient définies par délibération du conseil municipal avant d’être annexées aux documents d’urbanisme (plan local d’urbanisme, carte communal …) dans les trois mois qui suivent.

       

      Parallèlement, la délibération est notifiée aux propriétaires ou syndicats des copropriétaires des bâtiments de plus de 15 ans situés sur ces périmètres. Ces derniers ont alors 18 mois pour rapporter l’exécution de leur obligation auprès de la commune qui à défaut, pourra faire réaliser d’office ce diagnostic à leurs frais. Ce dernier doit ensuite être renouvelé tous les dix ans mais n'a pas à être communiqué à l'acquéreur ou au locataire. Le principe de loyauté entre les parties oblige toutefois à la transmission de cette information.

       

      Notez que l’obligation de procéder à un diagnostic structurel de l’immeuble est satisfaite par l’élaboration du projet de plan pluriannuel de travaux.

       

  • Note de conjoncture immobilière n°69 - Octobre 2025

    Les dernières tendances et évolutions des prix de l'immobilier

  • Paris s'attaque au co-living - 15/10/2025

    La proposition de délibération relative à Paris, zéro co-living, portée par le conseiller, Ian Brossat, a été adoptée, mercredi 8 octobre.

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      La proposition de délibération relative à Paris, zéro co-living, portée par le conseiller, Ian Brossat, a été adoptée, mercredi 8 octobre.

       

      La ville entend mettre fin à cette nouvelle forme d’habitat qui consiste à associer à la location d’une chambre, des espaces partagés (cuisine, salon, terrasse) ainsi que des services additionnels (Internet, ménage), moyennant « des prix exorbitants – entre 900 et 1200 euros par mois, soit bien au-dessus des plafonds fixés par l’encadrement des loyers, » soulignait le conseiller, lors de la présentation de la proposition.

       

      L’adoption de cette délibération devrait dès lors aboutir à la constitution d’une équipe chargée d’élaborer des mesures destinées à freiner le développement du co-living comme des refus à des demandes d’autorisation d’urbanisme pour ce faire (permis de construire, changement de destination, en particulier de bureaux en logements).

       

      Elle devrait également conduire à une interpellation du Gouvernement et du Parlement sur la nécessité de qualifier ces nouvelles formes d’habitat de locations longue durée, assujetties à l’encadrement des loyers, aux règles de mixité sociales définies dans le plan local d’urbanisme applicables en cas de création d’habitation ainsi qu’aux obligations issues de la loi du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs.

       

  • Hausse de la taxe foncière - 15/10/2025

    Même si les communes n’ont pas prévu de relever le taux de la taxe foncière, celle-ci est en augmentation sur tout le territoire.

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      Même si les communes n’ont pas prévu de relever le taux de la taxe foncière, celle-ci est en augmentation sur tout le territoire.

       

      Le montant de la taxe est obtenu en multipliant le taux d’imposition fixé par la commune, par la valeur locative cadastrale du bien. Celle-ci correspond au loyer annuel que pourrait rapporter sa location.

       

      Cette valeur est actualisée et revalorisée chaque année par l'État, en fonction de l’indice des prix à la consommation harmonisé publié par l’INSEE au mois de novembre précédent la taxation.

       

      « En 2025, compte tenu de la valeur de l’IPCH constatée en novembre 2024, le coefficient de revalorisation est fixé à 1,068, soit une augmentation forfaitaire de 1,7 % de la base de calcul des propriétés bâties et non bâties (hors locaux professionnels), » précise le site des impôts.

       

      Pour rappel, les contribuables non mensualisés ont jusqu’au 20 octobre pour s’acquitter de leur taxe, en ligne.

       

  • Les droits de vente, le couple et le primo-accédant - 09/10/2025

    Une réponse ministérielle vient préciser les conditions dans lesquelles un époux acquéreur peut échapper à une éventuelle hausse de la taxe départementale.

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      Une réponse ministérielle vient préciser les conditions dans lesquelles un époux acquéreur peut échapper à une éventuelle hausse de la taxe départementale.

       

      Depuis le 1er avril et jusqu’au 31 mars 2028, les départements sont autorisés à relever de 0,5 point le taux des droits de mutation à titre onéreux applicables aux ventes de biens immobiliers afin d’augmenter leurs ressources fiscales. La loi de finances pour 2025 prévoit toutefois que cette augmentation ne s’applique pas aux primo-accédants, c’est-à-dire à ceux qui deviennent pour la première fois propriétaires de leur résidence principale.

       

      La réglementation ne précisait pas la manière dont il fallait apprécier cette qualité de primo-accédants aux couples et notamment lorsqu’un des époux mariés sous un régime communautaire avait financé seul l’acquisition de la résidence principale sur ses fonds propres. Dans cette situation, la qualité de primo-accédant permettant d’échapper à la hausse départementale ne concerne que ce conjoint.

       

      Lorsqu’il s’agit d’une acquisition en indivision de la résidence principale par un couple de concubins, pacsés ou encore mariés sous le régime de la séparation de biens, chaque acquéreur indivisaire doit personnellement répondre à la qualification de primo-accédant pour bénéficier d’une absence de hausse du droit de vente départemental, à hauteur de sa quote-part.

       

  • Révision du zonage, plus de 450 communes reclassées - 02/10/2025

    Un arrêté publié le 6 septembre dernier au Journal officiel, actualise le classement des territoires marqués par un déséquilibre entre l'offre et la demande de logements.

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      Un arrêté publié le 6 septembre dernier au Journal officiel, actualise le classement des territoires marqués par un déséquilibre entre l'offre et la demande de logements.

       

      La majorité des changements concerne des reclassements vers des zones plus tendues. 468 communes voient ainsi leur classification évoluer à la hausse : 147 ont été reclassées en zone B2, 247 en zone B1, 64 en zone A et 10 en zone A bis.

       

      A l’inverse, 19 communes ont été déclassées, sur leur demande.

       

      Pour rappel, le classement détermine les aides à l'investissement locatif et à l'accession à la propriété telles que le prêt à taux zéro, le bail réel solidaire, le prêt social location-accession, ainsi que les réductions d'impôt attachées aux dispositifs Denormandie et Loc'Avantages.

       

  • Semaine de la médiation duu 10 au 18 octobre - 02/10/2025

    7è semaine de la médiation

    Rendez-vous du 10 au 18 octobre avec les médiateurs du notariat.

    La médiation par les notaires est une solution rapide et amiable pour résoudre vos conflits.

     

21/11/2025

3 jours du logement du 8 au 10 décembre, rendez-vous sur le salon virtuel et posez vos questions à un notaire

Réforme du DPE immobilier 2026 : quels impacts pour les propriétaires ?

Le diagnostic de performance énergétique (DPE) est devenu un pilier du marché immobilier. Longtemps perçu comme une simple formalité, il influence aujourd’hui directement la valeur d’un bien, son attractivité locative et les décisions patrimoniales des propriétaires. Et avec la réforme majeure prévue pour le 1er janvier 2026, ce diagnostic s’apprête à bouleverser le paysage immobilier français. Que vous soyez bailleur ou vendeur, découvrez comment cette réforme va transformer vos obligations, vos marges de manœuvre et la valeur de votre patrimoine.

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    Le DPE : un outil devenu stratégique

     

    Le diagnostic de performance énergétique (DPE) évalue la consommation d’énergie et les émissions de gaz à effet de serre d’un logement. Il attribue une note de A à G selon la performance énergétique du bien, et doit être réalisé par un diagnostiqueur certifié.

     

    Obligatoire lors d’une vente ou d’une location, le DPE est désormais un critère de décision à part entière pour les acheteurs et les locataires. Sa validité est de dix ans, et il figure dans le dossier de diagnostic technique (DDT) remis à la signature du bail ou de l’acte authentique.

     

    Depuis la loi Climat et Résilience (2021), les logements mal classés ne peuvent plus être loués progressivement :

     

    G+ (au-delà de 450 kWh/m²/an) interdits à la location depuis 2025 ;

    F interdits à compter de 2028 ;

    E à partir de 2034.

    En tant que notaire nous observons une corrélation croissante entre DPE et valeur patrimoniale : une mauvaise note peut entraîner jusqu’à 20 % de décote à la revente.

     

    Pourquoi une réforme en 2026 ?

     

    Le DPE a longtemps pénalisé les logements chauffés à l’électricité à cause du coefficient de conversion (2,3), censé traduire la transformation de l’énergie primaire en électricité. Problème : l’électricité française est décarbonée à plus de 95 %, rendant ce calcul obsolète.

     

    Le gouvernement a donc décidé d’abaisser ce coefficient à 1,9, pour se rapprocher des standards européens. Une correction attendue, qui rebat les cartes pour des millions de propriétaires.

     

     

    DPE et location : une réforme qui change la donne pour les bailleurs

     

    L’impact est immédiat : environ sept millions de résidences principales devraient gagner une demi-classe énergétique, dont 850 000 logements sortiront du statut de passoire énergétique.

     

    Pour les bailleurs, cela signifie :

     

    • Moins de logements interdits à la location ;
    • Moins de travaux de rénovation imposés ;
    • Une offre locative enfin soulagée.

    Dans un marché en tension extrême, cette révision technique est un véritable bol d’air : la demande locative a bondi de 9,5 % en un an, tandis que l’offre a chuté de 6 %.

     

    Les nouveaux réflexes à adopter

     

    Faire réévaluer le DPE dès fin 2025 pour bénéficier du nouveau mode de calcul.

    Reporter certains travaux coûteux, si le reclassement suffit à rendre le bien conforme.

    Valoriser la performance énergétique dans les annonces immobilières.

    Optimiser fiscalement les rénovations futures via MaPrimeRénov’ ou le dispositif Denormandie.

    Conseil de votre notaire : avant de signer un bail, vérifiez la validité du DPE et anticipez le reclassement. Cela peut vous éviter une vacance locative inutile.

     

     

    DPE et vente : vers une revalorisation du parc immobilier

     

    Cette réforme pourrait freiner la tendance à la vente forcée des passoires thermiques, observée depuis 2021.

     

    Le nouveau calcul redonne de l’attractivité à ces biens, qui pourraient retrouver un marché solvable sans nécessiter des rénovations lourdes.

     

    Un meilleur DPE, c’est :

     

    • Une revalorisation immédiate du bien sur le marché ;
    • Une négociation plus favorable lors de la vente ;
    • Une meilleure perception bancaire pour les acheteurs (conditions de prêt plus avantageuses).

     

    Conseil du notaire : avant de vendre, faites actualiser votre DPE. Une meilleure note peut justifier une hausse de prix ou accélérer la transaction.

     

     

    Stratégie patrimoniale : anticiper pour mieux valoriser

     

    Trois actions clés pour 2025–2026

     

    Anticiper la réforme : refaire le DPE dès fin 2025 pour profiter du reclassement.

    Planifier les travaux utiles : isolation, ventilation, chauffage à régulation intelligente.

    Optimiser fiscalement ses investissements immobiliers avec les aides existantes.

     

     

    Les investisseurs peuvent tirer profit de cette période de transition :

     

    • Acheter des biens F ou G avant leur reclassement ;
    • Profiter de prix plus bas ;
    • Revendre ou louer après 2026 avec une plus-value.

     

    Conseil de votre notaire : avec la réforme du DPE 2026, les logements chauffés à l’électricité verront souvent leur note s’améliorer sans travaux majeurs. Ils représentent une opportunité d’investissement particulièrement intéressante et pérenne, ciblez-les en priorité !

     

     Plus qu’une simple mise à jour technique, la réforme du DPE 2026 ouvre une opportunité : anticiper, adapter et valoriser son patrimoine.

    Un DPE mieux noté, c’est un bien plus attractif et un investissement pérenne.

     

OFFICE NOTARIAL

Thomas GIRAUD

7, rue des Tisserands

Cran-Gevrier

74960 ANNECY

 

Tél.: 04 58 10 14 40

thomas.giraud@notaires.fr

 

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